Biohacking en France

Vous êtes un leader d’entreprise ? Le biohacking est une stratégie gagnante pour optimiser votre vie et votre environnement.

Rappelez-vous, vous êtes des marathoniens. Votre entreprise fonctionne comme le corps humain. D’où l’intérêt du biohacking. Il fait de vous le CEO de votre propre corps.

Vous vous sentez stressé et/ou épuisé ? Bonne nouvelle ! Il existe aujourd’hui des techniques basées sur la science pour augmenter votre productivité et votre énergie au quotidien.

Dans cet article, Docteur Denys Coester, médecin biohacker, vous fera découvrir les secrets du biohacking.

Qui est Denys Coester ?

Docteur Denys n’est autre que l’auteur du livre « Le Manuel de démarrage du Biohacker ». Il s’agit du premier ouvrage en français sur le biohacking.

Denys Coester est avant tout un médecin anesthésiste-réanimateur. Il exerce dans une clinique parisienne depuis une quinzaine d’années. En plus d’être un spécialiste en biohacking, il est aussi :

  • instructeur en hypnose auprès de la National Guild of Hypnotists ;
  • enseignant en coaching.

Il est titulaire de deux diplômes en médecine anti-âge et prévention du vieillissement.

Qu’est-ce que le biohacking ?

Le biohacking est une méthode scientifique créée aux États-Unis. Il est composé de deux mots : bio et hacking. Le premier désigne la vie et le second fait référence à la prise de contrôle.

Attention ! Il est important de bien comprendre le concept du « biohacking » que certains connotent comme un piratage. Dans ce sens, il pourrait s’agir de « piratage biologique » visant à prendre le contrôle de l’environnement interne et externe.

L’environnement externe englobe notamment :

  • l’alimentation ;
  • le stress auquel vous êtes soumis ;
  • la pollution atmosphérique ;
  • etc.

L’environnement interne désigne tout ce qui est à l’intérieur de vous-même. Cela prend en compte :

  • vos hormones ;
  • vos pensées ;
  • la neurochimie ;
  • votre système immunitaire ;
  • etc.

Lorsque vous contrôlez ces deux environnements, vous pouvez maîtriser la biologie et donc, votre vie. Cela inclut votre qualité de vie et votre bien-être.

Le mot « hacking » fait souvent penser à l’informatique. Il est important de préciser qu’il existe deux types de hackers informatiques :

  • Les Black hat hackers : ils piratent des informations pour éventuellement saccager un système informatique.
  • Les White hat hackers : ils éprouvent le système afin de rajouter de la mémoire vive et de le rendre plus puissant. Celui-ci deviendra alors plus résilient aux attaques éventuelles extérieures de virus.

En considérant ce deuxième type de hacker, nous pourrions prendre le biohacking dans le sens : débrider son potentiel. Il désigne un concept d’optimisation. Il ne va pas à l’encontre de la nature puisqu’il ne s’agit aucunement de transhumanisme.

L’idée n’est pas d’accomplir des choses incroyables comme modifier l’ADN. Il s’agit plutôt de faire le maximum pour optimiser votre biologie avec laquelle vous êtes né.

Quelles sont les 5 modes de vie à mettre en place pour tirer profit du biohacking France ?

Le biohacking ne sert pas à grand chose tant que vous n’avez pas fait la base. Vous pouvez prendre des compléments alimentaires ou vous injecter toutes sortes de substances. Tout cela ne vous servira à rien sans la base.

Cette dernière consiste à optimiser votre énergie cellulaire. Celle-ci provient de la molécule ATP (adénosine-triphosphate), produite au sein de cellules dans de petites usines appelées « mitochondries ».

Pour booster le fonctionnement des mitochondries (et donc votre énergie), voici quelques petites routines à adopter dans votre vie quotidienne :

  1. La douche froide : l’exposition au froid oblige les mitochondries à développer plus d’énergie pour produire plus de chaleur.
  2. Le jeûne intermittent : lorsque vous jeûnez, vous obligez votre corps à éliminer des cellules vieilles ou malades. En quelque sorte, vous faites donc le ménage dans votre organisme.
  3. La réduction du stress : le stress mental entraîne un stress cellulaire, avec même des conséquences sur l’ADN.
  4. La réduction de l’apports sucrés : l’excès de sucre provoque une inflammation de l’organisme. Il est délétère pour les synthèses d’énergie au niveau cellulaire.
  5. La pratique d’activité physique : nous avons tendance à dire que nous n’avons pas le temps de faire du sport. En réalité, il y a une règle simple à respecter que nous verrons plus bas.

Conseils à prendre en compte :

  • Privilégiez le jeûne intermittent de 16 heures à 18 heures. En effet, le nettoyage cellulaire commence à peu près, au bout de 16 heures à 18 heures de jeûne. Il s’agit d’ailleurs l’alternative la plus simple.
  • Toutes les techniques de gestion du stress et du mental vont favoriser l’énergie cellulaire : respiration (type cohérence cardiaque), méditation, etc.

Quelles activités sportives pratiquer pour débuter le biohacking ?

L’idée n’est pas de courir pendant une heure tous les jours. Certes, cela peut être agréable. Cependant, vous n’en tirerez pas d’intérêt considérable. De plus, ce n’est pas très bon pour les articulations.

Pour le métabolisme, ce qui est vraiment bénéfique, c’est de faire fort, mais court. Optez pour du H.I.I.T ou High Intensity Interval Training ou Entraînement fractionné de haute intensité.

Faites par exemple une série de sprints : courez  10 secondes, arrêtez-vous 10 secondes, reprenez le même exercice et ainsi de suite. Vous verrez que c’est extrêmement productif.

Même chose lorsque vous faites de la musculation. Inutile de soulever en série un poids de 1 kg, car cela ne sert à rien. Il vaut mieux opter pour une charge relativement lourde de 50, 60 ou 70 kg pour du développé couché. Vous le faites une fois et c’est tout.

L’essentiel est que vous êtes allé jusqu’au maximum de vos capacités. En effet, c’est dans ces conditions que vous boostez vos mitochondries et votre énergie. Vous commencerez alors à avoir des effets intéressants au niveau musculaire et donc de la longévité.

Biohacking en France : Quels sont les mythes et les idées reçues ?

Certaines personnes estiment que le biohacking consiste à retourner à la nature. Cela signifie courir nu dans les bois, chasser et cueillir comme ce que faisait l’homme de la Préhistoire. Eh bien, non !

Par contre, cette insistance à des choses simples constitue la base. Il est essentiel de commencer par là, sans pour autant vous y limiter.

Le biohacking ne signifie pas juste « un retour à la nature » ni utilisé les choses naturelles. Il n’a pas de limites tant que vous n’allez pas vers le transhumanisme.

Dès lors que vous assimilez cette base, vous vous demanderez : « Qu’est-ce que je peux faire pour aller plus loin ? ». À ce moment-là, plusieurs solutions s’offrent à vous !

Vous vous orienterez peut-être vers :

  • des compléments alimentaires ;
  • la biotechnologie (ex : la photobiomodulation).

Quelles sont les limites du biohacking ?

Pour découvrir davantage le biohacking, certains opteront pour des compléments d’aliments. D’autres auront recours à l’aide biotechnologique comme la photobiomodulation. Il s’agit d’une thérapie par la lumière rouge laser ou LED de faible intensité.

Il est même possible d’utiliser des nootropiques. Ces substances vont booster la neurologie du cerveau.

Vous pouvez également stimuler les cellules souches ou tester des techniques plus complexes comme la médecine régénérative.

À retenir : le biohacking ne se limite pas au naturel. Toutefois, l’artificiel ne constitue pas non plus la seule voie. L’idéal est de commencer avec le naturel, puis, expérimentez certaines technologies.

Biohacking en France : Découvrez les trois principales phases

Le dépistage des déséquilibres

Pour cela, vous pouvez tout simplement faire des analyses. Vous pouvez aussi répondre à des questionnaires extrêmement performants sur les neurotransmetteurs.

L’équilibrage des déséquilibres

Cela consiste à équilibrer les éventuels déséquilibres identifiés lors du dépistage.

L’optimisation

Certes, il existe des compléments alimentaires qui produisent la même action que le jeûne au niveau cellulaire. Toutefois, vous perdrez de l’argent si vous en prenez sans jeûner. Cela n’aura donc aucun intérêt.

En revanche, si vous êtes un adepte du jeûne et qu’en même temps, vous prenez des compléments, alors vous en tirerez des avantages.

Encore une fois tant que vous n’avez pas fait la base, rien ne sert d’aller plus loin.

Les compléments alimentaires standards d’un biohacker

La quercétine se retrouve en tête de liste. Les complémentaires alimentaires rassemblent toute la gamme de flavonoïdes.

Il s’agit de toutes les substances qui vont interagir avec un système appelé « le mTOR ». Ce dernier a fait et fait encore actuellement l’objet de nombreuses recherches.

Vient ensuite la rapamycine qui intéresse de plus en plus de biohackers américains.  Il s’agit d’un médicament anti-rejet, considéré comme le meilleur antihacking à l’heure actuelle. Il est aussi en phase de recherche.

Les Américains s’intéressent actuellement à un médicament antirogène : la rapamycine. Il pourrait devenir le meilleur anti-aging qui existe.

Attention ! Encore, la rapamycine est un médicament antirogène. Vous ne pouvez donc pas en prendre au hasard. Certes, elle permet d’augmenter l’espérance de vie. Cependant, les ouvrages le confirment : c’est surtout la restriction calorique qui augmente la durée de vie.

Ainsi, avant de prendre de la rapamycine, revenez vers les fondamentaux pour améliorer votre bien-être :

  • le sommeil ;
  • l’alimentation ;
  • l’activité physique.

Le Docteur Denys prend par exemple 12 à 15 compléments alimentaires par jour. Cela va des plus simples (comme les omégas 3 et la vitamine D) aux plus complexes (dont la quercétine).

Les meilleurs secrets du biohacking

Éliminer les sources de désordre biologique

Avant de réveiller le biohacker en vous, commencez par enlever les éléments négatifs. Les spécialistes en biohacking appellent ce processus « la Via Negativa ». Il consiste à supprimer tous les poisons de votre alimentation, principalement le sucre.

Vous en trouverez partout dans l’alimentation moderne. Dans les boîtes de conserve, les surgelés, etc, il y a toujours du sucre ajouté.

Le sucre favorise l’augmentation de l’insuline. Celle-ci est non seulement un facteur de croissance, mais aussi un pro-inflammatoire. Elle entraîne l’inflammation de l’organisme.

Supprimez également les aliments auxquels vous êtes intolérant. Aujourd’hui, beaucoup de personnes se prétendent intolérantes au gluten ou au lactose. Certaines le sont réellement tandis que d’autres, non.

Comment savoir si vous êtes intolérant à un aliment ? 1 à 2 heures après l’ingestion, vous sentirez des crampes d’estomac. Vous aurez également envie d’aller aux toilettes.

S’exposer à la lumière

En fin de journée, vous utilisez certainement des lumières artificielles. La logique voudrait aussi que vous vous serviez de lunettes pour bloquer la lumière bleue produite par les ordinateurs. La raison est qu’elle interfère avec la synthèse de la mélatonine. Il s’agit de l’hormone du sommeil.

Avant d’aller vous coucher, vous pourriez donc prendre des compléments de mélatonine. Cependant, cela ne sert à rien si vous vous continuez à vous exposer à la lumière bleue. D’où l’importance de supprimer ce poison dans votre vie quotidienne.

Éviter l’excès de stress

Le stress aigu est extrêmement bénéfique. Celui chronique, en revanche, pose véritablement problème niveau santé.

S’ajoutent à cela les personnes que vous fréquentez qui plombent votre énergie. Il vaut mieux les éviter. Eliminez alors les personnes qui ne vous apportent pas du positif.

Soigner l’alimentation

L’idée est de bannir les aliments qui :

  • ne vous apportent pas du positif ;
  • vous empêchent de vous sentir en forme.

Plusieurs questions se posent alors :

  • Faut-il retirer uniquement les aliments transformés qui contiennent du sucre ajouté ?
  • Faut-il retirer tous les sucres, y compris la banane que nous pourrions prendre à 16h ?
  • Le riz que nous prenons au repas doit-il aussi être retiré ?

Ce genre de remise en question touche parfois les personnes qui s’intéressent au biohacking. Les spécialistes appellent cela « l’orthorexie ». Elle se caractérise par une espèce d’obsession pour l’alimentation saine. La bigorexie, quant à elle, désigne l’addiction au sport.

Lorsque ces deux phénomènes sont identifiés, cela signifie que vous passez dans un versant « pathologique » ou encore dans quelque chose d’excessif. À partir du moment où vous êtes dans l’excès, cela va créer un stress.

Exemple :

Vous êtes complètement obsédé au point de vous dire : « Oh la la ! Le moindre grain de riz va être une catastrophe ». Vous risquez alors de créer du stress. Dans ce cas-là, posez-vous la question suivante : « Qu’est-ce qui serait le plus gênant : prendre un petit peu de riz ou avoir du stress ? »

Au niveau de l’alimentation, il est important de savoir que nous sommes 7 à 8 milliards d’êtres humains sur cette Terre à manger au quotidien. Il n’y a pas un régime alimentaire tiptop pour autant de personnes. Chacun aura donc son alimentation.

Pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui, nous avons chacun un système digestif qui nous est propre avec ce que les férus des sciences appellent « un microbiote ». Nichées dans le tube digestif, ces bactéries nous sont propres comme une espèce de cartographie.

Dans tous les cas, l’idée reste la même : utilisez des aliments qui vous donnent de l’énergie et optimisent votre bien-être et votre santé au quotidien.

Il n’y a pas de contre-indication de prendre une banane à 16 h si cela vous fait plaisir. En revanche, l’approche est différente avec le sucre.

Il est essentiel de savoir comment vous les prenez et quel type privilégier. En effet, certains sucres sont plus lents à digérer. D’où l’importance de bien sélectionner les aliments que vous consommez. Choisissez, ceux avec du sucre à à index glycémique bas.

Prenons le riz. Il se décline en plusieurs variantes. Le riz tout blanc présente un index glycémique élevé que le riz complet. En revanche dans ce dernier, il y aurait de l’arsenic

Tout ne peut donc pas être parfait.

Le problème est que vous commencez à faire des erreurs dès que vous devenez trop obsessionnel sur un système et que vous ne voulez pas en changer. Pourtant, cela apporte du bon à l’alimentation qui devient équilibrée.

La preuve : après avoir mangé, regardez vos selles.

  • Soit vous faites de belles selles bien marron et bien moulées qui tombent direct dans la cuvette.
  • Soit vous avez des selles un peu poisseuses et malodorantes qui collent à la cuvette des WC.

Ces dernières montrent que vous avez un problème digestif appelé « une dysbiose ». Elle indique un déséquilibre au niveau de la flore intestinale.

Cette idée aussi simple de regarder les selles est une indication exceptionnelle.

Biohacking : les biohacks mis en place par le Docteur Denys

En tant que médecin, Dr Denys a eu la chance de tester différents compléments. La Metformine en fait partie. Il s’agit d’un médicament antidiabétique qui, d’après plusieurs publications, pourrait avoir un effet anti-âge et anti-cancer. D’autres études mettent en cause cette affirmation.

Si vous souhaitez uniquement maîtriser les bases du biohacking, vous pouvez recourir à certaines formations :

  • en lisant des livres ;
  • en regardant des vidéos sur YouTube.

Dès que vous voulez en savoir plus par contre, il vaut mieux être accompagné. Ne jouez pas  avec votre santé, surtout si vous envisagez de prendre des nootropiques pour booster vos capacités cérébrales.

Certaines personnes vont utiliser des extraits naturels de plantes comme le Bacopa et le Ginseng.

D’autres vont prendre de vrais médicaments en détournant leur usage à des fins nootropiques.

Dans ces conditions, elles mettent leur vie en danger.

Quelques exemples de personnes ayant suivi un mode de vie basé sur le biohacking

Dans la catégorie des entrepreneurs, vous trouverez Tim Ferriss. Depuis la publication de son livre « La semaine de 4 heures », cet entrepreneur a toujours été dans une obsession d’optimiser ses journées, son temps et sa vie.

Très naturellement, il s’est mis au biohacking parce que cela lui semblait logique. Il a fait le maximum de ce qu’au niveau organisationnel il pouvait faire pour s’optimiser. Forcément après, la barrière à dépasser, c’est la biologie.

Même de grands noms du développement personnel comme Anthony Robbins parlent presque tout le temps de biohacking. Beaucoup le considèrent d’ailleurs comme le coach le plus connu aux États-Unis.

Robbins n’utilise pas forcément le terme « biohacking » lors de ses séminaires. Il parle plutôt de « physiology first » qui signifie la physiologie en premier. Il est donc bien conscient d’une fait :

« Un entrepreneur peut apprendre toutes les techniques. Il ne pourra cependant pas aller bien loin s’il n’a ni l’état d’esprit ni la santé ».

Un entrepreneur n’est pas un sprinteur, mais plutôt un marathonien. Il devra courir longtemps, et pour cela, il devra garder son énergie.

L’idée est en effet de :

  • se préserver le plus longtemps possible ;
  • s’économiser intelligemment ;
  • vivre plus longtemps.

N’oubliez pas que l’optimisation de la santé et de la biologie fait partie des différents axes du biohacking. S’ajoute à cela le fait de pouvoir vivre plus longtemps par des moyens naturels ou moins. Ce point intéresse tout particulièrement le Dr Denys qui possède un diplôme en médecine anti-âge.

Le mot de la fin

En tant qu’entrepreneur, vous êtes avant tout des marathoniens. Finalement, votre entreprise est comme le corps. Le cerveau en est le chef d’orchestre.

Lorsque votre cerveau ne fonctionne pas bien, le reste ne va pas marcher. Ainsi, si vous n’êtes pas dans un état d’énergie ou de capacité cérébrale optimale, votre entreprise va péricliter à un moment ou un autre. En effet, elle ne peut pas aller bien sans vous.

Si malgré tout elle est bien portante, c’est que vous n’êtes plus vraiment à la tête de l’entreprise ou que vous n’êtes plus vraiment utile.

Si vous voulez que votre entreprise performe, faites en sorte que votre biologie soit optimale. Beaucoup d’entrepreneurs tirent sur la corde et finissent en burn-out. Ils se crament et ne sont plus productifs. Ainsi, avant d’être le CEO de votre entreprise, soyez le CEO de votre propre corps.

Voilà justement la base du biohacking : être le CEO de son propre corps et de sa propre biologie.

Soigner votre corps vous permet d’atteindre vos objectifs. D’ailleurs, vous n’en avez qu’un seul. D’où l’importance de le chouchouter.

Soignez donc votre santé, votre biologie, votre corps et votre énergie. Cela vous permettra d’aller plus loin.

Comme le disait Saint-François de Sales : « Il faut soigner le corps pour que l’âme s’y plaise ». Autrement dit, si vous voulez avoir une âme joyeuse, faites en sorte que son réceptacle soit bien en forme.

Biohacking en France : en conclusion

Le biohacking est donc vraiment une prise en contrôle de sa vie par la personne elle-même. Il va l’aider à :

  • maîtriser et optimisersa biologie sur tous les plans ;
  • rester en bonne santé et être bien dans sa peau ;
  • maximiser ses performances au niveau professionnel ;
  • atteindre ses objectifs tant personnels que professionnels.