Formation QRQC : développez vos compétences

La formation au QRQC, ou Quick Response Quality Control est un outil essentiel. Elle est importante pour les entreprises cherchant à :

– améliorer leur performance ;
– respecter les exigences des référentiels normatifs tels que les normes ISO, IATF, EN et ISO 13485.

En développant les compétences de vos équipes en QRQC, vous pouvez :

– améliorer la qualité de vos produits et services ;
– réduire les coûts et les délais ;
– augmenter la satisfaction de vos clients.

Dans cet article, nous allons explorer tout ce qu’il y a à savoir sur le QRQC Quick Response Quality Control.

Qu’est-ce que la formation QRQC ?

La formation Quick Response Quality Control est un programme de développement des compétences. Elle enseigne aux équipes les principes et les outils de la méthodologie QRQC Quick Response Quality Control.

Celle-ci vise à résoudre rapidement et efficacement les problèmes de qualité. Elle identifie et élimine les causes racines. Elle est basée sur une approche structurée et systématique impliquant l’utilisation :

– d’outils d’analyse ;
– de techniques de résolution de problèmes.

La formation Quick Response Quality Control permet aux équipes de :

– comprendre les concepts clés de la méthodologie ;
– de maîtriser les outils et les techniques ;
– de mettre en pratique ces compétences.

Grâce à leurs acquis, ils vont pouvoir résoudre des problèmes réels dans leur entreprise.

Les bases du QRQC

Le QRQC Quick Response Quality Control sont basé sur :

– l’implication des opérateurs en charge de la détection des défauts ;
– l’intervention des services supports ;
– la rapidité.

Le principe est le suivant. Dès qu’il y a un incident, les services supports doivent venir immédiatement sur le poste de travail. Avec l’aide des opérateurs, ils vont :

– faire une analyse ;
– chercher une cause potentielle ;
– procéder au traitement ;
– engager les actions.

Historique et évolution

Le QRQC a été développé dans les années 1970 par Kaoru Ishikawa, un ingénieur japonais employé chez Toyota. Il a notamment créé le diagramme Ishikawa, connu également sous le nom de diagramme de causes et effets. Cet outil peut aider à identifier les causes racines des problèmes qualité.

Le QRQC a évolué au fil des ans pour inclure de nouveaux outils et techniques tels que :

– les 5 Pourquoi ;
– le PDCA ;
– la méthode 8D.

Aujourd’hui, le QRQC est utilisé dans de nombreux secteurs, notamment :

– l’automobile ;
– l’aérospatiale ;
– la santé ;
– l’électronique.

Principes fondamentaux

Les principes fondamentaux comprennent :

– l’identification des problèmes ;
– une analyse immédiate ;
– des actions correctives rapides ;
– une évaluation des résultats ;
– une amélioration continue.

Avantages de la méthodologie QRQC

Les résultats obtenus grâce au QRQC Quick Response Quality Control sont nombreux. Ils comprennent l’amélioration :

– de la qualité ;
– des produits ;
– des processus.

Cela se fait en éliminant ou en réduisant les sources d’erreur ou de défaillance.

L’augmentation de la satisfaction des clients est un autre avantage. Cela s’obtient :

– en répondant à leurs besoins et à leurs attentes ;
– en évitant les retours et les réclamations.

Cet outil contribue à la réduction des coûts liés à la non-qualité. Ces charges incluent les :

– rebuts ;
– retouches ;
– frais de garantie ;
– pénalités.

L’optimisation des performances opérationnelles est décisive. Elle se traduit par une augmentation de la :

– productivité ;
– capacité ;
– flexibilité.

Enfin, le QRQC assure le renforcement de la compétitivité et de la rentabilité en améliorant :

– l’image de marque ;
– la fidélisation des clients ;
– les parts de marché.

Amélioration continue

L’amélioration continue est au cœur du QRQC. Elle vise l’optimisation des processus et intègre tous les niveaux de l’entreprise.

Réduction des coûts et des délais

En identifiant et en éliminant les causes racines des problèmes de qualité, les entreprises peuvent réduire les coûts. Ces derniers sont associés aux :

– rebuts ;
– retouches ;
– retards de livraison.

Cela permet également de diminuer les délais de production et de livraison, améliorant ainsi la compétitivité de l’entreprise.

Maintenant que nous connaissons la valeur de la méthode QRQC pour l’entreprise, voyons ci-après comment la mettre en place au sein de l’organisation interne.

Étapes clés de la mise en œuvre du QRQC dans une organisation

Les étapes clés dans la mise en œuvre d’un QRQC dans une entreprise sont multiples.

Elles commencent par la préparation et la planification. Ces premières phases comprennent une évaluation des besoins et des objectifs. Ensuite, il y a le choix d’une équipe, peut-être d’un chantier pilote, et des outils.

Le processus se poursuit avec le déploiement et l’application. Cette phase intègre :

– la formation des équipes ;
– le suivi ;
– l’ajustement ;
– le partage des acquis dans d’autres domaines que le secteur pilote de lancement.

Préparation et planification

Pour lancer le QRQC dans une entreprise, l’idée est de commencer par identifier :

– un chantier ;
– une équipe ;
– un secteur pilote.

Secteur pilote veut dire domaine dans lequel nous pensons que les gens vont adhérer. Nous espérons y avoir un succès plus facile que dans un autre. Lorsque ce chantier aura été une réussite, nous pourrons le déployer.

Dans cette étape, une autre action est nécessaire : définir le support des QRQC. Ensuite, il faudra l’enregistrer dans le système de management des informations documentées de l’entreprise.

Évaluation des besoins et objectifs

L’évaluation des besoins et objectifs de l’entreprise permet de déterminer les domaines prioritaires pour la mise en place du QRQC. Cela peut inclure :

– l’identification des problèmes de qualité les plus courants ;
– l’analyse des coûts associés à ces problèmes ;
– la définition des objectifs d’amélioration.

Une planification de déploiement est intégrée dans le projet. Celle-ci est, une fois de plus, basée sur deux points :

– un démarrage dans un secteur pilote ;
– un déploiement sur l’ensemble de l’entreprise derrière.

Choix de l’équipe et des outils

Le choix de l’équipe et des outils est d’une importance capitale pour la réussite de la mise en place du QRQC.

L’équipe doit :

– être composée de membres ayant des compétences et des connaissances complémentaires ;
– être formée aux outils et techniques du QRQC ;
– présenter des garanties d’implication.

Tout cela est la clé du succès.

Lancer un outil comme le QRQC sur un chantier pilote présente des risques. Celui-ci sera regardé par d’autres secteurs. S’il échoue, cela va être très préjudiciable au déploiement de la méthode dans les autres domaines par la suite.

Déploiement et application

Pour déployer l’outil, nous allons commencer par créer le support d’enregistrement du QRQC. Les instructions éventuelles qui permettront de l’expliquer sont à afficher :

– dans l’atelier ;
– dans les services où la méthode sera déployée.

Il va falloir ensuite :

– former la première équipe pilote ;
– l’accompagner pour le déploiement ;
– faire un premier bilan.

Puis, il est important de communiquer autour de ce bilan. Cela permettra de déployer la méthode ailleurs.

Formation des équipes

Les équipes vont devoir être formées aux étapes principales de la méthode, à sa conduite mais aussi à ses principes structurants.

Cinq principes guident le comportement des acteurs impliqués.

La rigueur est le premier. Il s’agit de respecter les :

– règles ;
– procédures ;
– standards établis.

Se documenter puis tracer les informations sont aussi importants.

Le deuxième principe est l’attitude ou san-gen-shugi. Il s’agit d’une expression japonaise qui signifie “aller à la source”. Elle implique plusieurs actions :

– se rendre sur le lieu du problème, le genba ;
– observer le produit ou le processus concerné, le genbutsu ;
– collecter les faits et les données réelles, le genjitsu.

Ces actions permettent d’obtenir une vision objective de la situation. Elles aident à éviter les suppositions et les interprétations.

Le management visuel est le troisième principe. Il s’agit d’utiliser des outils visuels tels que des :

– tableaux ;
– graphiques ;
– indicateurs.

Ils permettent d’afficher les informations relatives aux problèmes et aux actions correctives. Pour les différents acteurs, ces outils facilitent :

– la communication ;
– la coordination ;
– le suivi de l’avancement et des résultats des actions correctives ;
– la transparence.

Le dernier principe est l’escalade. Il consiste à remonter les problèmes et les actions correctives au niveau hiérarchique supérieur. Cela se fera uniquement :

– si le délai imparti est dépassé ;
– si le problème dépasse le périmètre de la compétence du niveau concerné.

Cela permet de mobiliser les ressources nécessaires et d’accélérer la résolution des problèmes.

Suivi et ajustements

Le suivi et les ajustements sont nécessaires pour assurer la réussite à long terme de la mise en place du QRQC.

Dès le chantier pilote et le lancement dans chacune des autres équipes, plusieurs actions sont requises. Il va falloir :

– suivre les progrès réalisés dans la résolution des problèmes qualité ;
– mesurer l’efficacité et les solutions mises en œuvre ;
– apporter les ajustements nécessaires.

Surtout, il est important de s’assurer :

– que les équipes ne s’essoufflent pas ;
– que l’outil n’est pas mis de côté par manque d’encadrement.

Outils et techniques spécifiques de la QRQC

Le QRQC va s’appuyer sur un support, un formulaire, un paperboard, un document d’enregistrement. Ce document va comprendre plusieurs outils :

– le QQO-QCPC, pour identifier de façon complète le problème ;
– les 5 Pourquoi, pour remonter à la cause racine à partir d’une cause directe ;
– le PDCA, pour planifier et déployer les actions ;
– la mise à jour des standards et du plan de surveillance.

Outils d’analyse des causes racines

Pour identifier les causes racines, il est nécessaire de commencer par la détection des causes directes. Pour cela, le diagramme d’Ishikawa sera d’une aide précieuse.

Ensuite, il est important de remonter des causes directes retenues aux causes racines en utilisant la méthode du 5 Pourquoi.

Diagramme Ishikawa

Le diagramme Ishikawa, également connu sous le nom de diagramme de cause-effet, diagramme arête de poisson ou 5M pour :

– Méthode ;
– Milieu ;
– Moyen ;
– Main-d’œuvre ;
– Matière.

Cela permettre d’identifier des causes directes des problèmes qualité.

5 pourquoi

Une fois la cause directe d’occurrence identifiée à l’aide de l’Ishikawa, nous allons devoir remonter aux causes racines. L’outil 5 Pourquoi va permettre de le faire. Il consiste à poser cinq fois de suite la question Pourquoi.

Une fois que nous pensons être arrivés à la cause racine, il est temps de s’assurer que notre démarche est logique. L’idée est de repartir de la cinquième cause, en passant la quatrième, la troisième, etc. en remontant, en insérant le mot “donc” entre elles.

Si la logique est respectée, les phrases avec tous ces “donc” doivent être compréhensibles et claires.

Techniques de résolution de problèmes

Lorsque les causes racines sont identifiées et connues, il est temps de définir les actions. Ces dernières vont nous permettre de résoudre le problème en supprimant les causes racines validées.

PDCA (Plan-Do-Check-Act)

Le premier outil pour planifier et engager les actions va être le PDCA, donc un plan d’action sous la forme suivante :

– Plan : définir ce qu’il faut faire ;
– Do : enregistrer la date à laquelle cela a été fait ;
– Check : vérifier l’efficacité ;
– Agir : améliorer en fonction du résultat.

8D

Le 8D est une méthode structurée pour résoudre les problèmes qualité. Il comprend 8 étapes :

– première étape : créer une équipe de travail ;
– deuxième étape : décrire de façon précise le problème ;
– troisième étape : confiner le problème en maîtrisant les risques de récurrence jusqu’à ce que les actions correctives soient validées ;
– quatrième étape : identifier les causes racines ;
– cinquième étape : planifier et mettre en œuvre les actions décidées ;
– sixième étape : évaluer l’efficacité de ces actions ;
– septième étape : transversaliser l’action validée à tous les cas similaires où le problème pourrait se poser et standardiser dans les documents du système ;
– huitième étape : communiquer et féliciter l’équipe.

Cette méthodologie 8D, qui est plus détaillée et complète, demande plus de ressources que le PDCA. Elle ne doit être engagée que si le QRQC ne permet pas de résoudre à lui seul le problème. Si ce dernier devient récurrent, alors ce type d’outil peut être mis en œuvre.

Étude de cas et retours d’expérience

Les études de cas et les retours d’expériences sont utiles. Ils servent à :

– comprendre les avantages et les défis de la mise en place du QRQC dans l’entreprise ;
– partager des choses qui se sont bien ou mal passées ;
– éviter de reproduire les mêmes erreurs.

Success stories d’entreprises ayant implémenté le QRQC

Parmi les nombreuses entreprises qui ont réussi à améliorer leur performance grâce à la mise en place du QRQC, nous pouvons noter par exemple :

– Toyota, pour réduire les coûts de production et à améliorer la qualité de ses véhicules ;
– General Electric, pour améliorer la qualité de ses produits et réduire les délais de livraison ;
– l’équipementier Valeo, qui suite à l’impulsion donnée par son directeur qualité japonais, Monsieur Kawashima, a déployé cet outil dans tous ses sites et a formé l’ensemble de sa supply chain, de ses fournisseurs à l’outil.

Impacts sur la qualité et la performance

Les impacts sur la qualité et la performance peuvent être significatifs. Cela se vérifie lorsque le QRQC est mis en œuvre correctement.

Exemple :

Une étude de cas menée par l’université de Malaya a montré des résultats importants. La mise en œuvre du QRQC dans une entreprise de fabrication de semi-conducteurs a entraîné la réduction de 50% des défauts de production.

Témoignages et conseils pratiques

Les témoignages et les conseils pratiques peuvent aider les entreprises à comprendre les défis et les avantages de la mise en place du QRQC.

Exemple :

Le responsable qualité d’une entreprise de fabrication de pièces automobiles a fait une déclaration. Selon lui, la formation Quick Response Quality Control a été bénéfique pour son équipe. Celle-ci a pu résoudre des problèmes de qualité complexes en identifiant les causes racines. Elle a par la suite pu mettre en œuvre des solutions efficaces.

Erreurs courantes et leçons apprises

Deux erreurs principales reviennent souvent dans la mise en place d’un QRQC.

La première, c’est de ne pas réfléchir suffisamment à :

– à l’équipe pilote ;
– au secteur pilote dans lequel l’action va être lancée.

Si cette démarche n’est pas faite correctement, l’action sera lancée et aboutira finalement à un échec. L’entreprise ne pourra pas s’appuyer sur ce premier cas pour mobiliser les autres équipes.

La deuxième erreur serait de ne pas faire le suivi du déploiement suffisamment longtemps. Elle concerne quelques entreprises qui ont été accompagnées par QSE Perf.

Après un lancement réussi, l’outil était délaissé quelques mois ou trimestres après. Les opérateurs, ou plutôt les équipes, avaient du mal à faire venir sur la presse les services supports.

Ces services n’aimaient pas forcément écrire, formaliser. Devant l’absence de réaction, ils ont assisté à l’abandon progressif de l’outil.

Challenges et obstacles

Les challenges et les obstacles courants lors de la mise en œuvre du QRQC comprennent :

– la résistance aux changements ;
– le manque de temps et de ressources ;
– la difficulté à identifier les causes racines des problèmes de qualité.

Recommandations pour une mise en œuvre réussie

Les recommandations pour la mise en place réussie du QRQC comprennent :

– la formation adéquate des équipes ;
– l’implication de la direction de l’entreprise ;
– la sélection appropriée des projets QRQC ;
– la mesure régulière des résultats et l’ajustement des actions en conséquence.

Il est très important de faire comprendre aux équipes que le QRQC est un outil d’amélioration continue.

Exemple :

Ci-après un cas que nous avons trouvé intéressant lors de la formation suivie chez Valeo. Vous vous promenez et vous vous déplacez dans une usine. Puis soudain, vous sentez que vous vous êtes accroché sur quelque chose.

Ayant un peu mal au bras, vous regardez et voyez que la manche de votre chemise est déchirée. En regardant le parcours que vous venez de faire, vous voyez un clou qui dépasse. Vous prenez un marteau et écrasez le clou avec.

La question est de savoir : est-ce vraiment certain que c’est ce clou-là qui a accroché votre chemise ? Peut-être pas. Cependant, celui-là ne fera plus de mal à personne et c’est le principe même du QRQC.

Le but est d’arriver à faire comprendre cela à l’ensemble des personnes impliquées. Elles comprendront par la suite qu’elles sont dans une démarche d’amélioration continue. En ayant compris l’intérêt de cet outil, elles auront plus de mal à stopper son utilisation.

En résumé, la formation Quick Response Quality Control est primordiale pour l’entreprise. Elle permet d’améliorer la compétence de ses salariés dans les résolutions des problèmes. L’idée serait de rehausser la performance de la firme dans tous les domaines.

Cet apprentissage a aussi pour but de conscientiser tous les acteurs sur l’importance de la méthode QRQC afin de garantir sa continuité.

Foire aux questions

Combien de temps dure généralement une formation en QRQC ?

Une formation Quick Response Quality Control peut avoir une durée variable. Cela va dépendre de l’objectif et du niveau. Elle peut varier de quelques heures à quelques jours.

Après la formation, il faudra assurer un suivi du déploiement. Celui-ci pourrait être de plus en plus espacé, mais ne doit pas s’arrêter rapidement.

La formation en QRQC est-elle adaptée aux débutants ?

Une formation en QRQC est adaptée à tous les niveaux, qu’il s’agisse de personnes expérimentées ou de débutants. Elle n’a pas de prérequis exigés. Cette formation permet de comprendre la philosophie d’apporter des bases solides.

L’entreprise s’améliore si, en cas de problème, tout le monde :

– se mobilise au service de la production pour le résoudre ;
– intervient rapidement sur le lieu de sa survenance.

La formation en QRQC inclut-elle des études de cas pratiques ?

Comme pratiquement toutes les formations, celle en QRQC incluent évidemment des études de cas pratiques. Les apprenants vont être mis en situation réelle afin qu’ils puissent concrètement :

– appliquer la méthode ;
– valoriser l’outil ;
– ancrer l’apprentissage.

Comment mesurer l’efficacité d’une formation en QRQC dans une organisation ?

L’efficacité d’une formation Quick Response Quality Control va pouvoir se mesurer de différentes manières :

– comparer les performances qualité avant et après la formation ;
– surveiller les indicateurs clés : qualité, délais, coût selon la nature des problèmes traités ;
– prendre en compte le feedback des participants, leur évaluation à chaud ou à froid ;
– voir l’impact sur la résolution des problèmes.

Le plus important serait de mesurer cette efficacité sur le moyen et le long terme.

L’erreur serait :

– de valider l’efficacité d’une formation après une mise en place initiale satisfaisante ;
– de passer à côté du fait que la démarche s’épuisant, finit par être abandonnée.

Peut-on suivre une formation en QRQC à distance ?

Une formation QRQC à distance est possible. A titre d’exemple, QSE Perf l’a déployé notamment lors de la période de confinement au moment de la COVID-19.

Elle permet de réaliser :

– des exercices ;
– des cas pratiques.

Toutefois, elle sera probablement moins concrète qu’une formation en présentielle dans l’entreprise. Celle-ci est intéressante car avec le groupe, elle permet d’appliquer la méthode sur des cas réels, notamment les derniers incidents détectés en production.

En savoir plus

https://www.info-industrielle.fr/automobile/controle-qualite-entreprise-qrqc/

https://blog.operaepartners.fr/2017/07/12/le-qrqc-cest-quoi/